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La story de ...

Sébastien,
Directeur Général, SEM Energies des Hauts-de-France

Présentez-nous votre parcours et votre métier ainsi que votre entreprise.

J’ai fait des études en Sciences Economiques à Béthune jusqu’à un mastère Sciences Economiques et Gestion de projet en environnement à Lille.

Je viens de la fonction publique territoriale puisque j’ai travaillé pendant une petite vingtaine d’années dans la gestion des déchets ménagers. Au départ en tant que chargé de mission pour mettre en place le tri sélectif et puis pendant dix ans à partir de 2007 en tant que DGC Directeur général des services d’un syndicat mixte d’élimination et de valorisation des déchets. On a construit des usines de valorisation de recyclage dans la région de Douai.

 

En 2017, j’ai été recruté à la SEM Energies des Hauts-de-France avec Stéphanie Scarna. C’est le démarrage de la SEM Energies.
Notre activité principale consiste en un fond d’investissement régional pour accompagner les projets de production d’énergie renouvelable.

Nos fonds ont été fournis par la Région, la Caisse des Dépôts et différents actionnaires, pour environ 5 millions d’euros investis dans les projets régionaux d’énergies renouvelables (centrales photovoltaïques, réseaux de chaleurs, …). On travaille sur ces projets en tant que financeur ou porteur de projet.

Qu’est-ce qui est le plus difficile dans votre métier ?

Je pense que c’est le fait qu’on a énormément de dossiers différents, passer d’un dossier à l’autre quotidiennement. Il y a des dossiers qui prennent du temps : entre le temps où le projet démarre et où il est construit, il peut se passer plusieurs années. Il faut donc savoir bien planifier !

De quoi êtes-vous le plus fier ?

La ville de Loos-en-Gohelle dans la Pas-de-Calais va nous confier l’installation de 8 centrales photovoltaïques sur les toitures de ses bâtiments. Et on a prévu de faire participer les citoyens de la commune en leur proposant de rentrer dans la société pour qu’ils soient actionnaires et acteurs du projet.

Comment avez-vous connu Coloft ? Qu’est-ce qui vous a le plus séduit ?

Fin 2016, j’ai cherché des locaux sur la région de Lille et j’avais orienté mes recherches sur des bâtiments à énergie positive qui soient en cohérence avec le métier que l’on fait. Et quand j’ai découvert le projet de Coloft (à l’époque, c’était un projet), j’ai très vite rencontré Mme Rousseau pour signer un bail pour des bureaux privatifs. À l’origine, le projet devait aboutir en septembre 2017. En attendant, on s’est installé à la Madeleine le temps de la construction.  Et nous sommes arrivés dès l’ouverture le 3 avril 2018 !

Ce qui nous a le plus séduit chez Coloft, c’est le projet du départ qui donnait déjà un aperçu de l’ambiance et la qualité des installations. Et il est aujourd’hui fidèle à ce que l’on nous a présenté sur plan.

Avez-vous une anecdote ou un souvenir à nous livrer sur votre arrivée et votre installation ?

On est arrivé les premiers, donc c’était un peu épique !  Il y avait encore des travaux et des dysfonctionnements, de ce fait les premières semaines ont été un peu compliquées.

L’anecdote la plus marquante, c’est lors de la livraison de notre mobilier (tables, chaises, armoires…). Alors que l’ascenseur devait être mis en service peu avant, nous avions informé les livreurs qu’il n’y aurait aucun souci pour livrer au 2ᵉ étage. Or, le jour J, l’ascenseur ne fonctionnait pas et nous avons dû monter nous-même tous les meubles par les escaliers ! Belle séance de sport !

Avez-vous une salle de réunion préférée ?

On utilise pas mal la salle Amazone, elle est très bien.

pureplaces salle amazone